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Le Puy du Fou : du roman national à l’Histoire et à l’Esprit de défense

En 2023, le parc d’animation français célèbre son quarantième anniversaire.

Article mis en ligne le 3 août 2023
dernière modification le 5 octobre 2023

par Nghia NGUYEN

 

Philippe de VILLIERS : un homme, un rêve, un combat

Le Puy du Fou est attaché au nom de Philippe de VILLIERS qui en fut à la fois l’inspirateur et le fondateur (1). Secrétaire d’État à la Culture de 1986 à 1987, député français et député européen, sous-préfet et Président du Conseil général de la Vendée de 1988 à 2010, Philippe Le JOLIS de VILLIERS de SAINTIGNON est également un écrivain de talent, auteur de nombreuses publications dont le fil conducteur demeure l’attachement profond à la civilisation judéo-chrétienne et à son histoire (2). Ses écrits politiques révèlent un fin observateur de notre temps mais aussi un esprit inquiet quant aux évolutions sociétales qui minent la Nation et, au-delà, le socle anthropologique de la civilisation (3). Au plan politique, les engagements de Philippe de VILLIERS sont patriote – au sens étymologique du mot – et souverainiste ce qui lui a valu de la part de ses détracteurs des accusations aussi convenues qu’ineptes en « fascisme », « intégrisme chrétien » et autre « pétainisme ».

A côté de ses ouvrages politiques, Philippe de VILLIERS révèle également une plume littéraire de haut vol. Doué d’un véritable talent de conteur, inspiré par une réelle érudition, il a écrit de remarquables romans historiques dans lesquels revivent des personnes du passé sur le mode d’autobiographies particulièrement sensibles (4). Plus que restituer (pourtant fidèlement) les lieux et les événements, Le mystère Clovis, Le roman de Saint Louis, de Jeanne d’Arc et de Charette sont habités et n’ont pas été écrits au hasard. L’auteur a ainsi relié ces destins historiques, d’époques très différentes, dans un projet commun qui leur donne une unité. Ce qui se présente donc comme une véritable quadrilogie est bien plus qu’une écriture romancée à des fins de plaisir littéraire. C’est une boussole morale qui en prenant appui sur l’Histoire donne à cette dernière un sens sur le temps long. Cette boussole est, selon M. de VILLIERS, à destination de l’actuelle jeunesse qui reconnaîtra en Clovis l’incarnation de la Conversion ; en Saint Louis celle de la Tempérance ; en Jeanne d’Arc celle de l’Espérance et en Charette celle de la Résistance. Autant de vertus cardinales qui permettront à la jeunesse française, selon l’auteur, de protéger et de poursuivre l’œuvre de civilisation.

C’est cette alchimie complexe qui, finalement, se retrouve aussi dans le Puy du Fou. Projet d’une vie, en étroite relation pour ne pas dire en cohérence intime avec les combats de Philippe de VILLIERS, le Puy du Fou trouve son authentique succès en ce qu’il relaie des questions profondes – celles de notre ancrage spirituel, de nos racines culturelles et des héritages qui font notre richesse - sur le mode d’un divertissement de masse adressé au plus grand nombre.

Le début de l’aventure : la Cinéscénie

Il y a donc à l’origine la Cinéscénie dont le succès va permettre l’éclosion de l’idée d’un parc d’attraction thématique, et sa réalisation concrète quelques années plus tard. La Cinéscénie est un spectacle son et lumière qui retrace, à travers le destin de la famille Maupillier, l’histoire d’un pays : la Vendée. Le mot « pays » est à comprendre au sens de territoire ancestral vécu à l’échelle d’une communauté humaine. Cette dernière y façonne une identité en relation avec un terroir. La délimitation géographique du pays des Maupillier reste donc générale, et ne se laisse pas enfermer dans la création - tardive et révolutionnaire - d’un département de Vendée.

Cette longue histoire que la Cinéscénie fait remonter au Moyen-Âge et aboutir à l’Après-guerre connaît cependant une rupture avec le traumatisme de la guerre dite de Vendée. C’est la brutalité même de la Révolution française qui, désormais, fait se confondre le soulèvement général d’une partie de l’Ouest de la France en 1793 avec le département de Vendée. Cette période est particulièrement mise en avant dans le spectacle et révèle la personne de Jacques-Louis MAUPILLIER (1777-1857) qui combattit la République dans les rangs de l’Armée catholique et royale.

La première représentation de la Cinéscénie a lieu en 1978. Spectacle nocturne, la Cinéscénie est d’abord une aventure de passionnés et de bonnes volontés qui finit par rassembler des milliers d’acteurs dont 4000 bénévoles. Ces derniers renouvellent régulièrement la mise en scène et le succès est d’emblée au rendez-vous. Dix ans plus tard, il est décidé de lancer un parc d’attraction thématique qui intègrera la Cinéscénie. D’abord appelé le « Grand parcours », l’ensemble est renommé « Puy du Fou » du nom du château autour duquel il s’organise et qui est situé sur la commune d’Epesses.

 

La course de chars du spectacle Le Signe du Triomphe racontant la conversion de l’Empire romain au Christianisme

 

Un parc thématique et un pôle économique

Avec 2,4 millions d’entrées en 2022, le Puy du Fou s’impose dans les 3 premiers parcs d’attraction français. Certes, il est encore loin derrière Disneyland Paris (15,2 millions de visiteurs en 2022) mais demeure juste derrière le Parc Astérix (2,6 millions) ; ces deux derniers parcs bénéficiant cependant de l’affluence de la région parisienne et de son exceptionnel réseau de transport en commun. Pour un parc provincial éloigné des grands axes de communication, qui plus est ouvert qu’une partie de l’année seulement, ce classement dans le trio de tête reste remarquable. Le Puy du Fou attire des familles venues de toute la France mais aussi d’ailleurs (5). Preuve de cette reconnaissance, il reçoit en 2012 le THEA Awards le consacrant comme le plus beau parc thématique au monde ; le seul qui soit entièrement consacré à l’Histoire (6).

D’emblée ce qui frappe au Puy du Fou c’est incontestablement la qualité des spectacles. Le parc s’organise autour d’une vingtaine d’animations dont 7 principales en constituent la vitrine (7). Le fil conducteur de l’ensemble demeure une narration historique allant de l’Antiquité romaine à l’Après-guerre sur un mode mêlant à la fois le théâtre, le cinéma et la comédie musicale. La trame est d’ailleurs souvent la même qui nous fait partir d’une histoire personnelle (celle d’un couple) emportée dans la dimension tragique de la grande histoire. Chorégraphies, cascades et effets spéciaux emportent le spectateur sur un fond musical particulièrement immersif. Le nombre de comédiens et de figurants sur scène est important et l’on est subjugué par les couleurs, les mouvements et la variété des costumes historiques. Des Vikings à la Guerre de Cent Ans, le Moyen-Âge s’offre en de belles fresques où chevaliers et armures ne manquent pas non plus.

Une autre originalité tient à la place accordée aux animaux au sein même des spectacles. Chevaux et rapaces de toutes sortes surgissent pendant les narrations et les combats, et il est rappelé que le Puy du Fou cherche aussi à témoigner du lien millénaire tissé entre l’Humanité et les animaux. Sur ce plan, le point culminant reste incontestablement Le bal des oiseaux fantômes où le final voit le ciel se couvrir de dizaines d’oiseaux surgis de nulle part : aigles, vautours, hiboux, cigognes, marabouts…

Que ce soit en extérieur ou en intérieur, il y a derrière des décors dignes de films de cinéma une impressionnante machinerie qui permet de déplacer un château, de renverser une tour, de créer des incendies, de faire surgir un drakkar d’une rivière et de multiplier ainsi différentes scènes d’un même point de vue. On imaginera sans peine l’organisation technique et matérielle nécessaire pour faire fonctionner ces différents ensembles. De fait, le Puy du Fou est aussi un véritable pôle économique à l’échelle du département de Vendée et de la région des Pays de la Loire. Son succès a permis le développement d’un pôle hôtellerie/restauration avec des milliers d’emplois induits à la clé. Faisant travailler 500 entreprises, le parc emploie 50 000 personnes et 3500 emplois indirects en dépendent (8). Son actuel président depuis 2004 - Nicolas de VILLIERS - poursuit l’œuvre du père à savoir conduire l’entreprise Puy du Fou à l’échelle nationale et internationale (9) mais sans actionnariat ni ligne marketing. Les bénéfices sont réinvestis sur place et il n’y a pas de recherche de dividendes. Le Puy du Fou est une entreprise sans en être une au sens classique du terme et se présente avant tout comme « une œuvre de gratuité » (10).

Il faut un minimum de deux jours pour en faire le tour et des planifications horaires sont proposées aux visiteurs selon leurs choix de spectacles, afin de pouvoir voir l’essentiel sans perdre de temps entre les animations. De fait, il y a très peu d’attente dans les files et l’installation des spectateurs se fait rapidement eu égard à leur nombre. La circulation à l’intérieur du parc est des plus agréables. Dans un décor rappelant davantage la campagne et la forêt, bercé en permanence par un fond de musique classique, on trouvera de petits enclos animaliers et des canards qui se promènent entre les touristes. Des aires de jeux pour enfants, des aires de pique-nique ainsi que de nombreux sanitaires (toujours pourvus en savon…) participent à un réel confort pour les visiteurs. Sur ce plan, les ambiances des autres parcs d’animation - notamment celui de Disneyland Paris – apparaitront plus intrusives voire agressives et fatigantes.

 

 

L’esprit du Puy du Fou

Bref, avec ses décors, ses machineries et ses effets spéciaux, le Puy du Fou nous donne du grand spectacle qui ne va pas sans rappeler la magie des Universal studios d’Hollywood de Los Angeles. Cependant, à la différence (essentielle) des grands parcs américains et de ceux qui s’en inspirent, il ne se situe pas dans le monde du cinéma ni dans celui d’un pur divertissement passager et superficiel. On n’y trouvera pas non plus de roller coasters ni de manèges à sensation. Les visiteurs n’y viennent pas pour s’amuser au sens le plus trivial bien au contraire. Ils sont d’abord invités à venir écouter et regarder, ce que les plus petits savent faire naturellement et ce que les moins jeunes redécouvrent avec bonheur. La posture n’est pas du tout la même selon que l’on se rende à Disneyland Paris ou au Puy du Fou. Dans le premier on est incité à s’amuser alors que dans le second on est appelé à l’émerveillement et à se laisser conduire dans une narration.

Cette narration change tout car elle est avant tout sensible et s’adresse au coeur. À ce titre, le spectacle le plus fort et le plus émouvant, est sans aucun doute Le dernier panache qui raconte la résistance des Vendéens et leur extermination par les révolutionnaires à travers le destin de leur chef le plus célèbre : François CHARETTE (1763-1796). De l’enfant à celui qui prend la tête du soulèvement populaire, de la mer à la terre, du bocage à la Place des Agriculteurs de Nantes où il est fusillé, la vie de CHARETTE est racontée en plusieurs scènes qui forment une fresque particulièrement émouvante (11). Les spectateurs sont immergés dans une dimension particulièrement tragique de l’Histoire à laquelle répond une citation d’Alexandre SOLJENITSYNE (1918-2008) en guise de conclusion. Tous comprendront que la lutte de CHARETTE, plus qu’un combat vendéen et contre-révolutionnaire du passé, est encore aujourd’hui le symbole d’une résistance universelle aux idéologies totalitaires.

C’est ici que réside le vrai succès du Puy du Fou. Alors que dans les autres parcs d’attraction le divertissement est mis en avant, celui créé par Philippe de VILLIERS fait du divertissement non pas une fin en soi mais un moyen destiné à ramener les contemporains à quelque chose de plus profond : l’Histoire. Les spectacles du Puy du Fou ont une profondeur que l’on ne trouvera pas aux Universal studios ou autres Parc Astérix. Ainsi, du Signe du Triomphe au Dernier panache c’est toute une représentation historique qui se dévoile, venant rappeler aux visiteurs (surtout Français) la construction de la civilisation à laquelle ils appartiennent encore. La césure avec les parcs de concept américain est, ici, fondamentale.

S’ils font rêver par leurs mises en scène et leurs animations, les spectacles du Puy du Fou s’appuient sur l’Histoire, non sur des fictions cinématographiques, et ce que prouve leur succès c’est que le passé demeure le socle indispensable dont les pierres angulaires permettent une projection qu’aucun projet futuriste ne pourra proposer. Si les gens se cherchent dans le présent, c’est dans le passé et non le futur qu’ils se retrouvent. Ce dernier - notamment lorsqu’il se décline au scientisme et au progressisme - non seulement inquiète mais fait douter plus qu’il ne donne confiance. Si le futur est appelé à être rattrapé et dépassé, on comprendra que le Puy du Fou est l’anti-Futuroscope. Philippe de VILLIERS ne s’y est pas trompé qui nous dit à travers de magnifiques spectacles que nous sommes avant tout des légataires. Bien plus qu’un futur qui par définition n’existe pas encore, c’est le passé qui fait rêver.

 

Le spectacle de la légende des chevaliers de la Table ronde

 

Distinguer le roman national de l’Histoire : le mauvais procès fait au Puy du Fou

L’Histoire que présente le Puy du Fou est-elle cependant l’histoire telle qu’elle s’est vraiment déroulée ou n’est-elle qu’une représentation fantasmée et déformée du passé ? Il a été ainsi reproché à la Cinéscénie de brosser un tableau simpliste d’une société d’Ancien régime plus complexe dans sa réalité que décrite dans le spectacle. Ailleurs, Le dernier panache a aussi concentré des critiques quant au sens à donner à l’extermination voulue par la Convention montagnarde. La question, surtout posée par des militants politiques fussent-ils habillés de titres universitaires, n’a pas lieu d’être dans la mesure où Philippe de VILLIERS a dès le départ fixé l’esprit dans lequel il voulait bâtir son projet culturel.

Nonobstant la qualité de ses reproductions historiques, le Puy du Fou n’a jamais eu pour objectif de faire de l’histoire au sens universitaire et scientifique du terme. Sa trame thématique s’inscrit dans ce que l’on appelle le « roman national » à savoir une narration romancée d’évènements historiques qui, mis ensemble, construisent une représentation commune participant à l’identité nationale. Légendes et merveilleux qui apparaissent d’ailleurs dans certains spectacles (Les Vikings, Le secret de la Lance, Les chevaliers de la Table ronde) interdisent d’emblée de parler d’histoire. Est-ce cependant une vraie question lorsque l’on sait que le propos du Puy du Fou est avant tout artistique et symbolique, et non scientifique ? Qu’il fait d’abord appel à l’imagination des spectateurs et à leur capacité à rêver le passé ? Philippe de VILLIERS le dit lui-même : « Le Puy du Fou est avant tout une œuvre de l’esprit et du cœur » (12) et le procès intenté en "passé fantasmé" dit surtout les arrière-pensées idéologiques des contempteurs du parc.

Quel intérêt y aurait-il cependant à faire rêver le passé comme « un poème (…) avec ses strophes heureuses et douloureuses » (13) ? La forme poétique permet de toucher des personnes qui, dans leur grande majorité, n’ont plus de contact avec l’Histoire et son enseignement. Dans le déferlement actuel de l’information auquel nos contemporains sont soumis, les points de repère et les clés d’explication plus que jamais font défaut et c’est ici qu’intervient le Puy du Fou. En permettant, sous la forme d’un divertissement, la remobilisation d’un imaginaire fort, le concept du parc vendéen fait le pari de l’intelligence et de ramener ainsi le plus grand nombre à une forme de conscience historique seule capable de redonner un sens dans les désordres politiques, culturels et moraux du temps présent. Ce retour d’une conscience historique est ainsi une première étape destinée à renouveler un intérêt pour l’Histoire ; celui-ci faisant intervenir par la suite les approfondissements et les nuances indispensables à la compréhension réelle des phénomènes historiques.

« Œuvre de l’esprit et du coeur », le Puy du Fou est également une œuvre de résistance devant la communautarisation de notre société et la désagrégation de notre civilisation. Une résistance aux influences convergentes de la mondialisation libérale, du multiculturalisme, du relativisme et de la haine de soi qui en émerge. Fondamentalement différent de ces autres parcs conçus dans l’air du temps de la world way of life, le parc vendéen nous rappelle que nous avons une identité profonde qui mérite d’être protégée et défendue. Cette identité a été forgée par une Histoire qui, souvent, a montré l’importance d’avoir confiance en des valeurs partagées pour survivre. Et si cette Histoire ne peut se confondre avec le roman national, ce dernier est la passerelle qui permettra de se représenter l’idée d’unité sans laquelle il ne peut y avoir d’espérance en l’avenir.

_______________

  1. Cf. de VILLIERS (Philippe), Le Puy du Fou. Un rêve d’enfance, Éditions du Rocher, 2018, 280 p.
  2. Cf. Il est par ailleurs le frère du Général Pierre de VILLIERS, ancien CEMA.
  3. Cf. Parmi ses ouvrages retenons de VILLIERS (Philippe), Le moment est venu de dire ce que j’ai vu, Paris, Albin Michel, 2015, 350 p. et de VILLIERS (Philippe), Les cloches sonneront-elles encore demain ? Paris, Albin Michel, 2016, 312 p.
  4. Cf. de VILLIERS (Philippe), Le roman de Saint Louis, Albin Michel, 2013, 530 p. de VILLIERS (Philippe), Le roman de Charette, Albin Michel, 2013, 476 p. de VILLIERS (Philippe), Le roman de Jeanne d’Arc, Albin Michel, 2014, 450 p. de VILLIERS (Philippe), Le mystère Clovis, Éditions du Rocher, 2020, 360 p.
  5. Cf. La clientèle étrangère est essentiellement européenne et représente environ 9% du total des visiteurs.
  6. Cf. Le Themed Entertainment Association Classic Awards est une récompense décernée chaque année, qui reconnaît la qualité d’une entreprise technologique et artistique en matière de parcs d’attraction mais aussi de musées et de spectacles divers. Créée aux Etats-Unis en 1994, la Themed Entertainment Association est liée à l’industrie du divertissement et des effets spéciaux.
  7. Cf. Le signe du Triomphe ; Les Vikings ; Le bal des oiseaux fantômes ; Le secret de la Lance ; Mousquetaire de Richelieu ; Le dernier panache ; Le mime & l’étoile.
  8. Cf. On y ajoutera la création d’une Académie du Puy du Fou correspondant à un ensemble d’écoles destinées à entretenir les savoir-faire anciens nécessaires aux spectacles du parc. L’école de fauconnerie en est un bel exemple. Dans la veine de la construction du château de Guédelon en Bourgogne, le Puy du Fou cherche aussi à recréer certaines structures selon les conceptions de leur époque (le velum du Colisée par exemple).
  9. Cf. La réussite du Puy du Fou l’a amené à s’exporter à l’étranger avec, notamment, l’ouverture d’un Puy du Fou Espana à Tolède en mars 2021. Intéressés par le concept de nombreux pays sont actuellement en contact avec l’équipe du Puy du Fou pour des projets similaires : Grande-Bretagne, Hongrie, Pologne...
  10. Cf. Europe 1 [en ligne]. FERRAND (Franck), « Au coeur de l’Histoire : le Puy du Fou, toute une histoire », 6 août 2019. Disponible sur https://www.youtube.com/watch?v=kH9RSIyjpj0 [consulté le 26 juillet 2023].
  11. Cf. Le succès de ce spectacle a par ailleurs conduit à la réalisation du film de MIGNOT (Paul) et MOTTEZ (Vincent), Vaincre ou mourir, 2023.
  12. Cf. Europe 1 [en ligne], op. cit.
  13. Cf. Ibid.

 

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